1/2 Filet mignon de porc fumé


Avec ce produit vous gagnez 10 points

Tranché finement, le filet mignon fumé se savoure froid, en apéritif ou en entrée, accompagné de pain frais, de beurre fermier ou de raifort doux.
Il peut aussi être servi tiède, légèrement revenu à la poêle avec une pointe de crème, ou en lamelles dans une salade tiède de pommes de terre à la moutarde.
Son goût intense mais équilibré fait merveille sur une planche de charcuterie ou dans une galette de pommes de terre (grumbeerekiechle) en version terroir.
Astuce de chef : servez-le avec une touche de miel de sapin ou une confiture d’oignons pour jouer sur les contrastes sucrés-salés.
En savoir plus
Le filet mignon fumé est une spécialité artisanale alsacienne qui mêle deux qualités rares : la noblesse de la pièce et l’intensité du fumage traditionnel. Chez Samuel, de la boucherie Sigmann, ce produit est travaillé à l’ancienne : salé à sec, affiné lentement, puis fumé doucement au bois de hêtre, selon la méthode familiale.
Plus maigre que la plupart des charcuteries, le filet mignon de porc offre une texture fondante, presque soyeuse, avec un parfum délicat, jamais agressif. Il incarne cette charcuterie élégante, rustique sans excès, qui accompagne aussi bien les tablées festives que les casse-croûtes raffinés.
Longtemps réservé aux grandes occasions ou à l’assiette du boucher, ce morceau était souvent fumé à la ferme, en haut du fournil ou au-dessus de la cuisinière à bois, pour en assurer la conservation. Aujourd’hui encore, son goût raconte l’hiver, les caves fraîches, la patience du salage et le feu maîtrisé.
C’est un produit de terroir dans ce qu’il a de plus noble : précis, équilibré, façonné à la main, et profondément enraciné dans la gastronomie alsacienne.
Où se situe le filet mignon de porc ?
Le filet mignon est l’une des pièces les plus tendres du porc. Il se situe le long de la colonne vertébrale, à l’intérieur de la carcasse, sous les côtes, dans la partie arrière du dos, juste sous le carré de côtes et la longe.
C’est une muscle peu sollicité par l’animal, ce qui explique sa texture particulièrement fondante et maigre. Il est protégé par d’autres couches musculaires, ce qui lui permet de rester tendre et juteux une fois cuit… ou délicieusement savoureux lorsqu’il est fumé à froid, comme dans la tradition charcutière alsacienne.