Pâté en croûte 3 Gibiers – 2 Tranches

Ce pâté en croûte artisanal est une ode au gibier sauvage et aux traditions de la chasse alsacienne. Élaboré à partir de cerf, de sanglier et de canard, soigneusement sélectionnés, il incarne l’équilibre parfait entre la force du gibier et le raffinement d’une recette patiemment travaillée.

Chaque viande apporte sa nuance :
– le cerf, noble et subtilement musqué,
– le sanglier, plus corsé et rustique,
– le canard, tendre et légèrement gras, pour arrondir l’ensemble.

Enrobé d’une pâte brisée ou feuilletée finement dorée, ce pâté présente une farce moelleuse, relevée d’épices douces, de baies, d’échalotes compotées et parfois d’un soupçon d’alcool (vin rouge, cognac ou marc selon la saison).

Produit à la main, en petite série, il est emblématique des grandes occasions : fêtes de chasse, repas forestiers, ou apéritifs d’hiver. Il allie le savoir-faire charcutier alsacien, la valeur gustative du gibier et la noblesse des plats en croûte, hérités de la cuisine bourgeoise.

Sans additif, ni colorant, ni arôme artificiel : ici, seul le goût du vrai compte. Une spécialité généreuse, engageante, parfaite pour ceux qui veulent (re)découvrir la charcuterie de gibier sous son plus bel habit.

Le canard est-il un gibier ?

 Oui, le canard peut être considéré comme un gibier…

…lorsqu’il s’agit de canard sauvage, notamment :

• le colvert, le plus courant des canards gibiers en France,

• le canard siffleur, le pilet, le sarcelle, etc.

Ces espèces sont chassées pendant la saison cynégétique (généralement d’août à janvier) et sont donc pleinement intégrées dans la famille des gibiers à plumes.

 Non, s’il s’agit de canard d’élevage

Le canard gras (de type mulard ou barbarie), utilisé pour le foie gras, les magrets, ou les cuisses confites, est un canard d’élevage domestique, et ne relève pas du gibier. Il n’a pas les mêmes caractéristiques gustatives ni le même statut réglementaire.

 Et dans un produit type « pâté en croûte aux 3 gibiers » ?

Il est assez courant d’associer le canard à du gibier (comme le cerf ou le sanglier) dans un mélange charcutier. On le fait pour adoucir la texture, équilibrer les saveurs, et éviter un excès de puissance. Même si ce n’est pas strictement un gibier, on l’intègre souvent dans des « assortiments de gibier » pour sa complémentarité culinaire.