Saucisses à croquer


Avec ce produit vous gagnez points

Ces saucisses se dégustent telles quelles, sans cuisson, directement sorties du panier ou de la poche.
Leur format mini les rend parfaites pour un apéritif convivial, un plateau de charcuterie entre amis, ou un en-cas plein de goût lors d’une balade ou d’un casse-croûte de chantier.
Servez-les avec des noix, des tranches de fromage affiné, des cornichons et un pain paysan bien croustillant. Les enfants les adorent, les grands les dévorent.
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Les saucisses à croquer, sont l’une des charcuteries les plus emblématiques du quotidien alsacien. Sèches, fumées, salées juste ce qu’il faut, elles sont prêtes à l’emploi, sans tranchage, sans fioriture. On les croque simplement, avec les doigts, comme un bonbon salé.
Autrefois glissées dans les poches des enfants pour les goûters à l’école ou les sorties à vélo, elles ont gardé leur charme rustique et réconfortant. Ni trop grasses, ni trop sèches, elles offrent un bon équilibre entre mâche et saveur, avec cette petite touche fumée qui rappelle les fermes et les cuisines d’hiver.
Elles sont aussi devenues l’alliée parfaite des plateaux apéritifs, aux côtés d’un verre de vin blanc sec, d’un bretzel ou de quelques tranches de fromage. Leur simplicité plaît à tous les âges, et leur format pratique en fait un produit nomade, généreux et toujours prêt à partager.
Un classique des maisons alsaciennes, aussi à l’aise sur une table de fête que dans un panier-repas de vendanges. À croquer sans retenue.
Le saviez-vous ? Pourquoi les appelle-t-on “queues du diable” ?
Le nom “queue du diable” viendrait de leur forme fine, légèrement recourbée, fuselée à l’extrémité, qui rappelle… la queue d’un diablotin ! Une appellation imagée, populaire et pleine de malice, qu’on retrouve dans certaines régions d’Alsace et du sud de l’Allemagne
Mais ce surnom ne tient pas seulement à leur apparence. Ces petites saucisses sèches fumées, parfois bien relevées en poivre ou en piment, ont du caractère. On les croque vite, une, puis deux, sans s’arrêter — et certains disent qu’elles « vous attrapent comme le diable », tant elles sont addictives.
Dans les fermes et les villages, ce surnom amusant était une manière de les différencier des autres saucisses plus sages. Une façon aussi de raconter une charcuterie joyeuse, conviviale, et un brin espiègle, comme sait si bien le faire l’Alsace.