Choucroute garnie – 2 parts


Avec ce produit vous gagnez points

Tout est prêt, il suffit de réchauffer.
→ À la casserole (recommandé)
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Ouvrir la poche et verser le chou (700 g), faire cuire à feu doux et remuer. Faite chauffer les charcuteries dans une grande casserole avec de l’eau.
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Réchauffer à feu doux, à couvert, pendant 15 à 20 minutes.
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Pendant ce temps, cuire à part quelques pommes de terre vapeur (non fournies).
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Servir très chaud, avec un peu de moutarde douce d’Alsace ou de raifort.
Contenu de la garniture :
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2 knacks
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2 saucisses fumées
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2 tranches de lard salé
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2 tranches de lard fumé
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2 tranches de viande fumée (collet ou kassler)
Pochette sous vide à conserver au frais jusqu’à 30 jours.
En savoir plus
Avec cette choucroute garnie 2 personnes, on est dans le pur esprit de la table alsacienne : généreuse, mijotée, et profondément attachée aux produits de son terroir.
Le chou est cuisiné longuement au Riesling d’Alsace, avec du saindoux, des lardons fumés, du laurier et des baies de genièvre, selon une recette transmise et inchangée depuis plus de 30 ans. C’est ce fond de cuisson lent et aromatique qui donne au chou sa texture fondante et son goût inimitable.
Côté garniture, rien n’a été laissé au hasard : six pièces de charcuterie alsacienne viennent compléter l’assiette. Knacks, saucisses fumées, lards salé et fumé, collet… chaque élément est fumé naturellement au bois de hêtre, salé selon les méthodes traditionnelles, et prêt à réchauffer en douceur. L’ensemble se marie parfaitement avec quelques pommes de terre vapeur et un verre de vin blanc sec.
Un plat généreux, préparé comme à la maison, sans conservateur ni raccourci industriel, parfait pour un déjeuner du dimanche, un dîner hivernal ou simplement pour se faire plaisir avec un classique bien fait.
C’est à Lapoutroie, au cœur des Vosges alsaciennes, que l’histoire de cette choucroute artisanale a vu le jour. Dans les années 1980, un camping voisin attirait chaque été de nombreux touristes venus découvrir les paysages d’Alsace… et sa cuisine. Beaucoup demandaient où manger une bonne choucroute traditionnelle. Claude et Roger Baradel, artisans bouchers-charcutiers déjà reconnus pour leurs viandes fumées, ont alors décidé de créer leur propre recette. Après plusieurs essais en cuisine, à ajuster les temps de cuisson, le choix du vin blanc, les épices et la garniture, ils ont trouvé la bonne formule : un chou doux, longuement mijoté au Riesling, et une garniture fumée juste comme il faut.
Les premiers vacanciers qui y ont goûté sont revenus l’année suivante. Puis ils en ont parlé autour d’eux. Très vite, la choucroute s’est fait un nom dans la vallée, puis bien au-delà. Aujourd’hui, des familles font le détour depuis la Belgique, l’Allemagne, le Luxembourg, et même d’autres régions de France, parfois sur la route du retour de vacances, rien que pour repartir avec leur choucroute. Preuve qu’un plat simple, fait avec soin et fidélité à la tradition, peut traverser les frontières et les générations.
La choucroute Baradel : une histoire de patience, de terroir et de main experte
Quand on parle de choucroute chez Anthony & Olivier Baradel, ce n’est jamais à moitié. Ici, à Lapoutroie, chaque poche sous vide raconte une histoire, de la feuille de chou à l’assiette, en passant par les fumoirs, les marmites et les couteaux des artisans.
Tout commence à Krautergersheim, la capitale de la choucroute alsacienne. C’est là que nous sélectionnons notre chou blanc, récolté à maturité. À son arrivée à l’atelier, il est dégorgé pendant 24 heures : c’est-à-dire qu’on le laisse reposer, puis on le rince à trois reprises à l’eau claire, pour en atténuer l’acidité naturelle et en révéler la finesse. Cette étape, longue et minutieuse, est indispensable pour obtenir un chou équilibré, digeste et savoureux.
Ensuite, le chou est cuisiné pendant plusieurs heures. On le fait mijoter doucement au saindoux, avec des oignons revenus, des lardons fumés, du vin blanc d’Alsace, et un mélange d’épices maison jalousement gardé. Cette cuisson lente, sans accélérateur, donne au chou toute sa rondeur et son parfum.
Pendant ce temps, dans une autre partie de l’atelier, les bouchers et charcutiers Baradel s’activent à la préparation des garnitures. Tout est fait sur place, sans produit acheté tout fait :
– Les saucisses fumées sont embossées, cuites ou fumées dans les fumoirs à sciure de hêtre.
– Le lard demi-sel et les morceaux de viande sont désossés, salés et cuits à l’ancienne.
– Et chaque pièce est tranchée à la main, pour garantir un visuel soigné et une cuisson homogène au moment du réchauffage.
Une fois tous les éléments prêts, c’est le moment du montage. Sur la ligne de production, chaque poche est assemblée à la main, en respectant scrupuleusement les proportions.
Tout est pesé, ajusté, vérifié, puis mis sous vide. Ce conditionnement permet une conservation au frais jusqu’à un mois, ou bien au congélateur pour une durée prolongée – sans rien perdre de la qualité ni du goût.
1 part pour les solos gourmands,
2 parts pour un dîner à deux sans stress,
Et la 10 parts pour les grandes tablées ou les fêtes de famille.
Ici, pas de choucroute industrielle. Juste du vrai travail de cuisinier et de charcutier, comme on le ferait pour soi, avec patience et fierté. Une poche Baradel, c’est tout simplement le goût de l’Alsace dans sa version la plus sincère.