Boudin noir d’Alsace – 3 pièces
Une recette d’hiver généreuse et fondante, fidèle aux tablées alsaciennes d’antan. Barquette de 3 x 150g.


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Disponible sur commande

Pour bien le préparer, commencer par sortir le boudin du réfrigérateur 30 minutes avant cuisson. Cela permet de détendre la chair et d’éviter qu’il n’éclate à la poêle.
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Chauffer une poêle antiadhésive avec une noisette de beurre ou un peu de graisse de canard.
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Faire revenir le boudin à feu doux pendant 8 à 10 minutes, en le retournant délicatement pour qu’il dore sans se briser.
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En parallèle, préparer des pommes fondantes : les couper en quartiers, les faire revenir à la poêle avec un peu de beurre et une pincée de cannelle jusqu’à ce qu’elles caramélisent légèrement.
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Servir bien chaud, avec une purée maison ou un écrasé de pommes de terre à l’huile de colza.
C’est un plat qui réchauffe l’assiette comme l’ambiance, parfait dès les premières gelées.
DLC minimale 15 jours, à conserver au frais.
En savoir plus
Spécialité incontournable des mois froids, le boudin noir alsacien s’inscrit dans une tradition charcutière bien ancrée entre montagne et plaine. Élaboré en hiver par la Charcuterie du Val d’Argent, ce produit saisonnier reflète un savoir-faire ancien, transmis avec exigence et passion. Sa texture moelleuse, presque fondante, contraste avec une enveloppe juste saisie, tandis que son assaisonnement subtil évoque à la fois la générosité de la ferme et la précision de l’artisan.
Ce qui le distingue, c’est son équilibre. Ni trop épicé, ni trop riche, il laisse s’exprimer pleinement le goût du sang cuisiné, rehaussé par une pointe d’oignon et une cuisson lente parfaitement maîtrisée. C’est un produit à la fois simple et noble, qui retrouve toute sa place à table dès les premiers froids venus. On le déguste avec la sensation de renouer avec quelque chose d’essentiel : une cuisine de saison, nourrissante, profondément locale.
Chez les anciens comme chez les fins gourmets, il reste un repère. Et quand il est fait comme ici — à taille humaine, sans artifice, en respectant le rythme de l’hiver — il dépasse largement le cadre du souvenir : il devient une vraie expérience culinaire, ancrée dans la réalité d’un terroir.